Je sais, j'ai un peu tardé avec cette chronique. Mais voyez-vous, j'ai un peu l'esprit ailleurs ces jours...

M'enfin, « mieux vaut tard que jamais », comme ils disent. Alors laissez-moi vous narrer les dernières aventures de nos joyeux massacreurs de pad.

Arrivés un peu à l'avance (et lourdement armés) en compagnie du maître de céans, önoPHIL et PIMboula accueillaient bientôt le président à grandes rafales de fusils à eau. Et c'est sous l'oeil mi-amusé mi-désespéré de Mme Gromar que le président riposta à coups de gourdin en tentant vaguement de se protéger avec la bâche de la table de ping-pong.

Une reconstitution de cet épisode, bien vite nommé « l'attaque de la bâche mutante » a d'ailleurs été immortalisée par un témoin : merci de nous remettre ce cliché pour analyse stratégique...

La soirée se poursuivra dans la joie et la bonne humeur, sur une terrasse qui, si elle doit encore subir quelques finitions, n'en était pas moins baignée de soleil, d'où le noble couvre-chef qui recouvre les occiputs de certains camarades sur ces images.

Les hommes de Panama

Non, vraiment : à Bettens, on ne s'embête pas ! Et j'aimerais que chacun médite les qualités réthoriques inégalées de cette conclusion.