Le président aurait-il la grosse tête ? On pourrait le croire. Il a beau être président, des traditions ça se respecte, nom de bleu ! Depuis la nuit des temps, la règle est simple, belle, pure.

On ne quitte pas un groupe qui joue à Halo quand on veut. Avant le début d'une partie, on annonce que ce sera la dernière. Et quand elle est finie, alors oui, là on peut s'en aller comme un prince.

Le mauvais exemple
Alors comment expliquer l'attitude inqualifiable du président ? Peut-être par l'émulation, tout simplement. Il y a pas très loin de chez nous un de ses collègues qui ne se comporte pas très bien. Je vous parle de Nicolas Ier, le mari de la grande Carla. Tout l'univers médusé se souvient de ses écarts verbaux et notamment du dernier en date.

La désertion de mercredi dernier sera-t-elle le « casse-toi pauvre con » de notre président à nous ? Lui en faut-il un ? Autant de questions que le quotidien du boucher aurait pu astucieusement convertir en espèces sonnantes et trébuchantes (pour l'origine de cette expression, voir madame tiscali) en proposant un autre de ses sondages passionnants...

Enfin bref, sinon on a passé une belle soirée, bien perlifère. Et puis on a même essayé des nouveaux jeux qu'on n'avait jamais vus. Même des très nuls, sans trop râler. A l'ancienne. Et la fondue de Masky était un vrai délice.

Mais quand même, Viva Piñata, c'est une sacrée m*rde.