Le sensations de vitesse sont toujours aussi hallucinantes et en plus, à chaque crash, on a droit à un magnifique ralenti pour voir le choc et la déformation de la carrosserie, ponctué d'un « caisse ruinée ! » ou d'un « dans ta face » tout de suite moins réjouissant.

Frapper la route Mais c'est surtout la liberté presque totale que nous offre le jeu qui est étourdissante. Dans Burnout Paradise, on peut rouler où on veut et quand on eut. Un peu à la manière du défunt Driver sur PS1. On n'a plus besoin de choisir une épreuve et de se retrouver comme sur un circuit. Paradise City nous ouvre grand ses bras et ses rues et les épreuves se cachent à chaque feu rouge.

Rejoindre un point donné dans un certain délai, avec le libre choix de votre itinéraire. Passer vingt secondes en l'air. Traverser trois panneaux publicitaires. Les épreuves sont nombreuses, et peuvent se faire en multi ou en solo. Et pour briller, il n'y aura pas de secret : rouler, rouler et encore rouler pour connaître chaque recoin de la ville.

Rivalité ravivée ! Le système de revanche est toujours au rendez-vous et comme il n'y a pas de circuit proprement dit, on peut s'acharner sur un pauvre type sans pour autant partir à contresens ou risquer de perdre une course. De la bombe !

On s'est fait quelques duels façon stock-car, où on se fonce dessus en frontal à pleine vitesse. Et si on se loupe, hop, un petit demi-tour au frein à main pour repartir à la poursuite du malheureux pilote. Et encore un détail réjouissant : une fois lancé le jeu, on ne le quitte plus ! On passe du mode solo au multi d'une simple pression sur la croix multi-directionnelle, on lance des défis de la même façon...

Plus besoin de mettre pause, de quitter la partie, de choisir un autre menu, d'attendre dans un lobby ennuyeux que la partie commence. On est en ligne, on continue à rouler et à envoyer de méchants takedowns le temps que tout le monde soit prêt !

Alors en attendant janvier et le jeu complet, téléchargez la démo et rejoignez-nous en ligne !

Un bémol à signaler quand même : l'agaçante DJ Diabolica et ses conseils à deux balles en langage pseudo-djeunz, Heureusement, ça se désactive en quelques clics !