Je ne peux pas ne pas en parler... En explorant plus à fond Kiwipedia, je suis tombé sur un article consacré à Georges W. Brassens, qui est décrit comme un "punk allemand réputé pour ses lyrics qui riment tous en -couille"...

Avec les paroles de l'un de ses plus grands succès, histoire d'appuyer cette fine analyse. En voici un extrait :

Le petit cheval dans la tambouille
Qu'il avait donc des grosses couilles
C'était un petit cheval rouille
Tous derrière et lui devant mes couilles

Il n'y avait toujours un temps de nouille
Dans ce pauvre paysage de mes couilles
Il me faisait jamais de papouille
Ni derrière ni devant mes couilles

C'est peut-être le fait d'être au boulot qui me rend émotionnellement fragile, mais j'ai dû me faire violence pour ne pas laisser des larmes de rire couler sur mes joues fraîchement rasées. Pathétique ? Peut-être bien, oui.