Georges W. Brassens
Par PIMboula le mercredi 26 octobre 2005, 15:47 - En vrac - Lien permanent
Je ne peux pas ne pas en parler... En explorant plus à fond Kiwipedia, je suis tombé sur un article consacré à Georges W. Brassens, qui est décrit comme un "punk allemand réputé pour ses lyrics qui riment tous en -couille"...
Avec les paroles de l'un de ses plus grands succès, histoire d'appuyer cette fine analyse. En voici un extrait :
Le petit cheval dans la tambouille
Qu'il avait donc des grosses couilles
C'était un petit cheval rouille
Tous derrière et lui devant mes couilles
Il n'y avait toujours un temps de nouille
Dans ce pauvre paysage de mes couilles
Il me faisait jamais de papouille
Ni derrière ni devant mes couilles
C'est peut-être le fait d'être au boulot qui me rend émotionnellement fragile, mais j'ai dû me faire violence pour ne pas laisser des larmes de rire couler sur mes joues fraîchement rasées. Pathétique ? Peut-être bien, oui.
Commentaires
Rigolo en effet.
Il n'y a qu'une seule chose qui m'escagasse: que tout cela soit parti de la scène de "Podium", crétinerie filmique absolue à mon sens, dans laquelle Benoît Poelvoorde osait, quelle audace!, cracher sur la statue du Commandeur en se faisant Brassens (nouilles qui rime avec couilles, si je me souviens bien) comme d'autres se feraient Michel Sardou ou Rika Zarai. Et tout ça pour renforcer l'apologie réac et larmoyante d'un chanteur populaire trop tôt electrocuté qui était parvenu sans rire à faire rimer Alexandra avec barracuda.
Finalement, je garde mon baril millésimé de ce bon vieux Georges.
pourquoi "trop tôt" ?
Ben, heu, parce qu'il aurait pu contribuer à faire rire la bouche encore quelques temps.
Very, very nicely done!
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