« Qui prend un verre de lait ? Personne ? Hallucinant ! »

(Jean-Louis)

« Y a pas le Brésil ? » (Serge)

« Non, c'est l'Euro... »
(les autres)

« Mieux vaut être mort que moche »

(Marc, 3 août 2005)

« Les robots ont le coeur dans le pied »

(Sylvain, 3 août 2005)

« Hou la... elles sont pas chères, ces places ! »

(David, posant ses fesses sur le parquet)

« Le thon, c'est bon. Une boîte pour deux, c'est peu. »

(Jean-Charles)

« Je me suis offert à ton épée. »

(David)

« C'est pas du flashback d'homosexuel, ça ! »

(Serge)

« Ça, c'est le mur que t'as eu. Il bougera plus, lui »

(Jean-Charles)

(Bâillement)

« Ca, c'est la fin de l'effet Romain »

(Jean-Marc)

« On joue à quoi ? »

« Ben on commence par un feuille-caillou-ciseaux et après on fait un zig-zag-zoug géant... »

(Serge)

« Dans le cochon, tout est bon. Sauf Sylvain. »

(Jean-Marc)

« Ce que je suis mauvais avec un PC de merde ! »

(Sylvain, 7 septembre 2005)

« T'es ni Violeau ni Pieroni, parce qu'on est Liverpool. »

(Romain à Jean-Louis)

« Il est où Marc ? Il doit être en train de faire un e-mail. C'est que ça doit prendre du temps, toutes ces dates de concerts à ajouter en bas de la signature... »

(Sylvain, 12 octobre 2005)

« Tous mes collègues sont pour la Suisse, pour Berne pi pour Thoune. Et moi je les emmerde ! »

(madame tiscali, 12 octobre 2005)

« C'est la solidarité des pisse-copie ! »

(Jean-Marc, fièrement, 9 novembre 2005)

« Autant pour moi. J'étais un peu premier degré, là. »

(Romain, 9 novembre 2005)

« Le pire là-dedans, c'est que madan, Romain et moi allons financer votre enthousiasme. Et ça, ça me fait mal au Q. »

(Jean-Marc, 9 novembre 2005)

« C'est un budget irréaliste ! »
(Jean-Marc)
« Non, c'est un budget d'enthousiasme ! »
(Sylvain, 9 novembre 2005)

« Tout ça devient un peu trop politiquement correct, bordel de merde ! »

(Marc, 7 décembre 2005)

« Ce n'est pas une polémique, c'est tout au plus ce que les horlogers appellent une complication. »

(Jean-Marc, 7 décembre 2005)

« Toute ta vie, tu seras au futur ! »

(Jean-Marc à Marc,
7 décembre 2005)

« Là tu fais un surcadrage pour volontairement plomber l'idée. »

(Sylvain, 7 décembre 2005)

« Du veau, M. Pittet. Du veau dans le risotto ! »

(David, par mail)

« Le X10, c'est une norme de domotique par courant porteur. »
(Sylvain)
« Par colporteur ? »
(Jean-Charles)

« On branchera le barbecue et tu feras tes petites poteries en macramé. »

(Jean-Charles à Sylvain)

« Pas n'importe quelle BMW. Une BMW 750 ! Avec 12 cylindres. En 'V'. Et je consomme un max. Et je POLLUE un max ! Et je vous emmerde ! »

(Marc, 4 janvier 2006)

« Pourquoi il meurt pas ? » (Jean-Louis)

« Si tu le tues, il mourra... » (Marc)

« Des fois, on comprend les pédés ! »

(Daniel, 12 juillet 2006)

« Ce n'est pas un membre permanent, parce qu'il n'est jamais là. »

(Romain, 12 juillet 2006)

« Je ne peux pas en vouloir à vous, qui êtes des carnassiers, des tueurs-nés. Mais je pensais qu'elle, au moins... (sanglot) »

(Marc, 12 juillet 2006)

« Je comprends, je comprends... Non, en fait je ne comprends pas. Mais je vois. »

(Jean-Charles, 3 mai 2006)

« Aaaaah, qu'est-ce qu'on est bien sur cette terrasse ! »
(Tous)

« Et en plus, Gromar est pas là ! » (Jean-Marc)

« C'est un truc électrique développé à Baïkonour ? » (Jean-Marc)

« Non, c'est français monsieur. » (Jean-Charles)

« Ah... alors c'est pas ça. » (Jean-Marc)

« Manette ? » (Romain)

« Euh ouais. Tête de nègre aussi. » (David)

« Ceci est un bazooka. Une arme sobre qui élève l'âme. »

(Jean-Charles)

« Il y a un temps pour payer de sa personne et il y a un temps pour cachetonner. »

(Marc, 7 mars 2007)

« La régie Prahin ? Ceux qui font passer Bernard Nicod pour un humaniste ? »

(Jean-Charles, 7 mars 2007)

« T'as pas de la musique plus de merde ? » (Philippe)
[plus tard]
« Il avait ! » (David, 7 mars 2007)

« Je le voyais tellement peiné. » (Sylvain)

« Al'arabbiata ? » (Philippe, 7 mars 2007)

« J'aurais fait un très bon dictateur. »

(Marc, 7 mars 2007)

« On a vécu le pire de la variété française. On est une génération sacrifiée. »

(Jean-Charles, 7 mars 2007)

« C'est vrai que c'est extraordinaire, mais bon... »

(Marc, 7 mars 2007)

« Michel Delpech, c'était de la merde. » (Jean-Charles)

« AH NON ! » (Marc et Sylvain en choeur, 7 mars 2007)

« Vous ne savez pas ce que c'est d'être un oiseau à la campagne en plein hiver. »

(Marc, 7 mars 2007)

« Mieux vaut un petit coup dans le nez qu'un grand coup dans le Q ! »

(Philippe, 7 mars 2007)

« J'ai un M600 que je donne à bon prix. »

(Sylvain, 4 avril 2007)

« Tout le monde va à la Migros. Bon, moi je vais à la Coop, car je roule en BM. »

(Marc, 4 avril 2007)

« Achète-toi une Audi, Romain comprendra. »

(Jean-Marc, 4 avril 2007)

« Tu es le mec avec la plus grande mauvaise foi que je connaisse. Tu es mon maître. »

(Sylvain à Marc, 4 avril 2007)

« Les enchères vont monter et ça va faire un scandale. Tu peux le noter. »

(Marc, 4 avril 2007)

« Tu devrais faire journaliste avec des théories comme ça, Lambelet. »

(Jean-Marc, 4 avril 2007)

« Question marketing et com, moi je dis l'Iran, bonjour ! C'est autre chose que la Migros. »

(Marc, 4 avril 2007)

« Mouhahahahahahahaha ! D'habitude, je suis PAS comme ça. »

(Jean-Charles, 4 avril 2007)

« Je n'ai jamais aimé Kung Fu Chaos. je faisais semblant pour vous faire plaisir. »

(Marc, 2 mai 2007)

« L'avantage avec les nazis, c'est que ça fait plaisir de les buter. »

(Marc, 2 mai 2007)

« C'est où qu'on se soigne ? On se soigne pas, dans ce jeu ! »

(Romain, 2 mai 2007)

« Non, pas le doigt ! »

(Tcharles, 2 mai 2007)

« La vraie vie ne fait pas toujours un bon film. »

(Romain, 6 juin 2007)

« Je me coince ici, comme ça je ne pourrai pas me lever pour vous aider. »

(Marc, 6 juin 2007)

« Tu peux me serrer ce que tu veux. »

(Phil, 6 juin 2007)

« Partir avec une rouquine au soleil, c'est pas forcément une bonne idée. »

(Sylvain, 6 juin 2007)

« Je suis le roi de la tapette. »

(Marc, 6 juin 2007)

« Je suis pour la norme supérieure. »

(Marc, 6 juin 2007)

« Sur quoi on va polémiquer si y a pas ce con de Gromar ? »

(Jean-Marc, 18 juillet 2007)

« Il est pas mauvais, mais c'est un Pommard. »

(Phil, 18 juillet 2007)

« Ce journaliste était un vrai connard (Sylvain)

Pourquoi ? Parce qu'il était pas de ton côté ? (Jean-Marc) »

« Il n'a pas que des qualités, mais il est fort. »

(Jean-Charles, 18 juillet 2007)

« Quand le boucher s'y met, c'est le mime morceau. »

(Sylvain, 18 juillet 2007)

« Se faire sucer par Scarlett, c'est l'aboutissement de toute une vie. »

(Phil, 18 juillet 2007)

« On va pas se faire chier, on tape dans le lourd. »

(Jean-Charles, 19 juillet 2007)

« Jean-Louis est pas là, alors on va peut-être pouvoir regarder le film dans des conditions à peu près agréables !

(Romain, 19 juillet 2007)

« Président, mais tu portes une veste de cantonnier ? » (Phil)

« Toi, du balai ! » (Sylvain)

« Ce vin est agréablement bouchonné »

(Jean-Charles, 6 septembre 2007)

« 'Fait chier ce mec, je dois me servir moi-même ! »

(Marc, 6 septembre 2007)

« J'ai beau réfléchir, je ne vois pas ce qui peut être moins intéressant que le rugby. »

(Marc, 6 septembre 2007)

« Marc, tu as les clés du palais de la mauvaise foi. »

(Sylvain, 6 septembre 2007)

« Marc, nous avons TON triomphe modeste. »

(Sylvain, 17 octobre 2007)

« Quand tu tombes sur des frouzes, tu te fais mettre grave ! Si tu tombes sur des ricains, tu te fais mettre aussi, mais moins... »

(Marc, 17 octobre 2007)

« Toi, quand on veut quelque chose de bizarre, on n'a qu'à t'appeler ! »

(Marc, 17 octobre 2007)

« Mais non, pas besoin d'être vulgaire. Dis-lui qu'on l'encule ! »

(Marc, dictant un message adressé au boucher)

« Toi au fond, je sais pas pourquoi je t'aime bien. »

(Sylvain, 5 décembre 2007)

« Il y a un temps pour la romance et il y a un temps pour le frag. »

(Romain, 5 décembre 2007)

«- Parfois je dis ce qui me passe par la tête (Jean-Charles)
- Et parfois tu l'écris ! » (Jean-Marc, 23 janvier 2008)

« Cette voiture rose ira parfaitement avec les faux nichons de Tcharles. »

(Sylvain, 23 janvier 2008)

« Non content d'être végétarien, il boit du Coca light, ce con ! »

(Marc, 6 février 2008)

« C'est qui ce con de singe, bordel ? »

(Romain, 6 février 2008)

« Je serai très généreux quand je serai riche, mais ça sert à rien de m'emmerder tant que je suis pauvre. »

(Marc, 6 février 2008)

« L'éternuement est une porte ouverte sur une autre dimension. »

(Sylvain, 5 mars 2008)

« Comment est-on passé de Ghostbusters à l'éjaculation ? »

(Jean-Charles, 5 mars 2008)

« Le problème, c'est que c'est devenu un étalon. Pas Gromar, son vin. »

(Philippe, 5 mars 2008)

« J'avais un bon copain gay et un jour je l'ai perdu de vue.
- C'est parce qu'il est passé derrière !» (David et Phil, en choeur,
5 mars 2008)

« Si je tombe sur un truc facho, eh ben je jouerai quand même ! »

(Marc, 7 mai 2008)

« Le langres, c'est l'époisse du riche. »

(Jean-Charles, 7 mai 2008)

« Je pense qu'il y a des autruches intelligentes. »

(Philippe, 7 mai 2008)

« Je suis la Evelyne Widmer Schlumpf du first wednesday. »

(Marc, 7 mai 2008)

« Tu penses qu'il n'y a pas de mouvement convexe dans le pinard ? »

(Sylvain, 2 juillet 2008)

« Je suis entièrement d'accord avec toi, Gromar. »

(Jean-Marc, 6 août 2008)

« Swisscom lance l'iPhone le 11 juillet et PIMboula le lâche le 2. »

(Philippe, 2 juillet 2008)

« Le journaliste est l'épicier intellectuel du con. »

(Sylvain, 4 juin 2008)

« Si tu veux comprendre comment le car arrive au passage à niveau, il faut écouter Gromar. »

(Jean-Charles, 4 juin 2008)

« Il est assez cher comme garagiste, mais j'ai des tours en hélico gratuits. »

(Marc, 4 juin 2008)

« Je n'encule pas les gens, moi. J'encule les mères des gens. »

(Marc, 3 septembre 2008)

« T'as du renvoi, tu l'exploites ! »

(Jean-Charles, 3 septembre 2008)

« Des fois, je me plais assez »

(Marc, 3 septembre 2008)

« Quand y a des cons, j'arrive ! »

(Marc, 3 septembre 2008)

« C'est la mère de toutes les radios, t'aurais dû l'enculer ! »

(Sylvain, 3 septembre 2008)

« QUand tu veux faire chier des gens, 'faut les faire chier tous ! »

(Marc, 3 septembre 2008)

« Tu peux la noter »

(Marc, 3 septembre 2008)

« - C'est normal, la bouteille de Villette au congél' ? (Philippe)

- Oui, tu peux la sortir. (Jean-Charles)

« Aarau, c'était génial, j'ai adoré. Mais 'faut y être né pour apprécier. »

(Jean-Louis, 3 septembre 2008)

« A Genève, ils sont quand même un peu plus cons qu'ailleurs. »

(Marc, 1er octobre 2008)

« Le boucher avait proposé de nous faire des filets de perche, mais ça a dû tomber à l'eau. »
(Daniel, 1er octobre 2008)

« - Elle est où, la place de Jean-Marc ? (Jean-Charles)

- Dans la cuisine ! (Philippe)

« Ce soir, on va être bourrés. En tout cas moi. »

(Marc, 1er octobre 2008)

« Quand je te vois, j'ai envie de faire de la lutte. »

(Sylvain, 1er octobre 2008)

« La prochaine fois, c'est moi qui paie les bolets. »

(Marc, 1er octobre 2008)

« - J'ai été engagé pour trouver un groupe pour le mariage d'un joueur de Manchester United. (Marc)

- Quel rapport avec le célibat ? (Jean-Louis)

« Gromar, il s'écoute perler. »

(Jean-Marc, 3 décembre 2008)

« Ça manque de filles ici? Ben non, quand y a besoin, y a la voisine. »

(Romain, 3 décembre 2008)

« Faites quelque chose de votre vie et je parlerai de vous. »

(Marc, 3 décembre 2008)